La beauté d’une nature magnifiée par le cyanotype

 

 

La découverte 

Qui suis-je ?

Sans doute une slasheuse comme on dit ! Je cumule plusieurs métiers : artiste, créatrice, décoratrice, praticienne en Feng shui et en astrologie chinoise. Depuis peu, je me suis aussi intéressée à la radiesthésie, à la géobiologie et pour finir le reiki. C’est comme ça, je suis un tout et j’assume. Certains diront que je me disperse mais que nenni, c’est mon ADN ! Evoluer, être curieuse et sortir de ma zone de confort, pour vivre une vie tellement plus riche. Les services que je propose aujourd’hui sont tous accessibles par ICI.

Osez vous aussi votre différence.

Je recherche à travers toutes ces techniques, le bien être en moi et autour de moi. Et mon grand plaisir est de partager tout ce que j’ai appris, pour à mon tour apporter du bien être à tout ceux qui ont besoin de prendre soin de leur for intérieur et de leur intérieur.

J’ai l’amour des belles choses. J’attache beaucoup d’importance à mon environnement. J’aime être entourée de belles couleurs, de beaux objets issus de l’artisanat, d’objets qui ont une histoire, un passé. J’ai toujours aimé créer de mes mains en utilisant différentes techniques. Petite, je découvre la couture avec ma grand-mère ce qui me permet aujourd’hui de créer des accessoires utiles pour décorer mon intérieur ou ustensiles utiles à mon quotidien comme des sacs, des pochons, de la layette pour la naissance de mes petits enfants. Dès mon enfance, j’ai eu plaisir à jouer avec les couleurs, en dessinant et en pratiquant l’aquarelle. J’aime aussi essayer différentes activités manuelles comme le macramé et l’origami.

C’est donc tout naturellement que la technique du cyanotype m’a attirée, de par sa couleur d’un bleu profond et de la poésie qui se dégage dans cette technique, qui sublime la nature, créant ainsi des oeuvres uniques, reproduisant le végétal dans ses moindres détails.

Je suis une amoureuse de la nature. Elle me ressource tant. Je suis émerveillée devant tant de beauté. La nature est si parfaite, si belle et si généreuse. Moi qui suis praticienne en astrologie chinoise, je sais que la nature dans sa symbolique, fait partie de ma ressource et donc me nourrit, me renforce. Ma ressource étant liée à l’élément bois, c’est aussi pour moi la créativité, l’émotion, l’empathie et le bien être que je m’apporte et que j’offre au monde. Puis le travail avec l’élément eau et la couleur bleue m’apportent plus de confiance en moi et donc plus d’affirmation dans ma posture, dans mon relationnel et dans ma vie. L’élément eau c’est en lien avec la communication et donc ma façon à moi c’est de communiquer à travers l’art. Si je pratique aussi l’aquarelle, ce n’est pas un hasard !!! Encore de l’eau !

Dans ma belle Provence d’adoption (eh oui, j’ai pas mal bougé avant, Paris puis la Région Parisienne, Herblay exactement, en Bretagne près de Plougastel Daoulas, là où vit la famille de mon père, en passant par Reims, Orléans avec mon cher et tendre et mes 4 enfants bien grands maintenant), le soleil brille quasiment toute l’année. Quelle aubaine pour réaliser des cyanotypes.

Dès que j’en ai l’occasion, je pars à la recherche de plantes qui pourraient donner le plus bel effet en laissant l’empreinte de leur forme sur le papier. Ce sont les graminées qui me fascinent le plus. On passe trop souvent à côté en les ignorant. Elles sont tellement variées qu’elles offrent de nombreux sujets à exploiter en cyanotype. J’aime leur légèreté, leur simplicité et leur élégance.

 

Un peu d’histoire

Le cyanotype voit le jour grâce à une femme Anna ATKINS.

Anna Atkins est une botaniste britannique, née le  à Tonbridge dans le Kent et morte le . Elle est considérée comme une pionnière de l’utilisation d’images photographiques (notamment par cyanotype) pour l’illustration d’ouvrages imprimés, en l’occurrence des herbiers qu’elle fit paraître à partir de 1843. Certains la considèrent même comme la première femme à avoir réalisé des photographies, titre qu’elle dispute à Constance Fox Talbot, l’épouse de William Henry Fox Talbot.

Née en 1799, orpheline de mère très jeune, elle est élevée par son père, John George Children, naturaliste réputé, membre de la Royal Society de Londres. Elle reçoit ainsi une formation scientifique rare pour les femmes de son époque. Illustratrice de renom, elle réalise les 250 gravures qui illustrent la traduction anglaise de l’ouvrage de Jean-Baptiste de Lamarck, Histoire des mollusques (1822-1824), publiée en 1833 sous le titre de Genera of Shells. Cette traduction joue un rôle important dans la nomenclature des coquillages car elle fournit les types permettant d’identifier les genres créés par Lamarck.

En 1825, elle épouse John Pelly Atkins et se consacre dès lors à la biologie et commence la confection d’un herbier. Anna Atkins offre certains spécimens au muséum des Kew Gardens. Elle devient membre, en 1839, de la Société botanique de Londres, l’une des rares sociétés savantes ouvertes aux femmes à l’époque.

En 1841, elle commence à s’intéresser aux algues à la suite de la publication de A Manual of the British marine Algae de William Henry Harvey. Grâce à son père, elle connaît très bien les travaux de sir John Herschel et de William Henry Fox Talbot, deux pionniers de la photographie. En 1843, elle commence la publication des British Algae : Cyanotype Impressions qui est le premier ouvrage publié à utiliser des photogrammes réalisés par cyanotype, une technique tout juste inventée par Herschel. Douze parties paraissent jusqu’en 1853, tirées à environ quatre cents exemplaires, dont une douzaine d’exemplaires plus ou moins complets sont encore répertoriés. En 1853, elle applique le même procédé aux fougères et publie Cyanotypes of British and Foreign Ferns. Elle travaille en collaboration avec son amie Anne Dixon. Les cyanotypes ont l’avantage d’être simples à réaliser et de présenter une grande stabilité dans le temps.

Elle lègue son herbier au British Museum en 1865.

Source Wikipedia : Biographie Anna Atkins

 

La technique du cyanotype

La magie du cyanotype. Un peu d’eau, un bel après-midi ensoleillé, quelques graminées fraîchement cueillies au petit matin, un joli papier aquarelle et une solution composée de citrate d’ammonium ferrique et de ferricyanure de potassium pour révéler, tout de blanc vêtu, l’empreinte du végétal, beignant dans un bleu profond révélé par un soleil au zénith.

Depuis cet été, dans mon petit atelier en Provence, à Charleval en Provence, exactement, je me suis prise de passion pour créer des œuvres uniques grâce au procédé du cyanotype.

Je teste depuis différents végétaux, sur différents supports et crée ainsi des compositions multiples et variées dans des tons bleus variés. Chaque essai est une vraie découverte. Ce n’est jamais le même bleu. L’intensité du soleil, la durée d’exposition et la qualité du papier apportent ces différentes variations de bleu.

Concrètement, ça se passe comment ?

  • se constituer un herbier en faisant sécher ses plantes, toutefois j’utilise aussi des végétaux fraîchement cueillis,
  • enduire son papier de la solution dans la pénombre car le moindre rayon de soleil pourrait nuire à la révélation du sujet. Le papier doit être suffisamment épais, 300 gr est l’idéal.
  • laisser sécher dans la pénombre la feuille
  • poser la feuille sur un support rigide, puis ajouter le végétal sur la feuille et ensuite recouvrir d’une vitre ou d’un plexiglass,
  • exposer en plein soleil entre 5 à 10 mn. L’idéal est le soleil au zénith et sans nuage si possible. Dès que la feuille prend une couleur grisâtre, c’est un bon indice pour stopper l’ensoleillement.
  • retirer les végétaux et tremper la feuille dans un bac rempli d’eau. Bouger la feuille afin que le produit parte. Petite précision, le produit ne pollue pas. Vous pouvez donc jeter l’eau dans l’évier.
  • laisser sécher à l’air libre mais pas au soleil.
  • Vous avez enfin un magnifique cyanotype ! Un conseil : comme tout œuvre d’art on évite d’exposer son tableau face aux rayons du soleil.

 

 

 

Mes créations

Allez, je vous partage mes réalisations. Différents formats sont disponibles. Le plus grand jusqu’à 50 cm x 70 cm.

Mise en scène en décoration d’intérieur

C’est toujours chouette de visualiser dans un intérieur, comment un cyanotype peut créer une ambiance nature, bohème et champêtre mais pas que !

 

 

 

 

 

 

Ma décoration murale en cyanotypes

Ma décoration murale en cyanotypes

 

Naissance de Promesse bleue

Depuis peu, j’ai donné un nom à ma nouvelle activité de création de cyanotypes, je l’ai appelé Promesse bleue, car la technique du cyanotype n’a qu’une promesse, celle d’assurer un bleu authentique et unique.

 

Moodboard de cyanotypes

Moodboard de cyanotypes

 

Un site bientôt !

Le site est en cours de création et vous pourrez vous y rendre bientôt sur l’adresse web suivante : www.promessebleue.com. Vous pourrez ainsi visualiser les modèles disponibles et me contacter pour passer vos commandes.

Présentation du site PROMESSE BLEUE

Présentation du site PROMESSE BLEUE

 

Dès qu’il sera en ligne, vous pourrez vous inscrire à la newsletter pour recevoir toutes les actualités de mon activité. Je compte effectivement exposer dans des boutiques et c’est déjà le cas aujourd’hui où j’expose quelques cyanotypes dans la jolie boutique de PELIWOOD

Vous pouvez d’ors et déjà me contacter via l’adresse email : hello@promessebleue.com mais aussi via ma page contact sur ce site : CONTACT  pour toute commande de cyanotype et me suivre sur mon profil instagram « promesse_bleue » sur lequel je publie régulièrement.

 

Profil instagram @promesse_bleue

Profil instagram @promesse_bleue

 

J’espère que vous serez autant séduit que moi je l’ai été.

« Faites entrer la nature dans votre intérieur avec un cyanotype authentique et unique !

Une touche de bleu manque à votre intérieur alors opter pour un cyanotype unique. »

 

 

 

 

 

 

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